Papilles et cage sensible
Lèctre trône et perce ses lapins sous leur mantille de cheveux gras qui ornent d'aiguilles les ressorts de leur corps comme des pics d'hérisson plongeant en cascade sur le cœur dynamique de ces innocents fusillés, battus et assassinés froidement, qui formaient mort et vivant, dans son esprit, un contre astre tellement violent, que seul un paradoxe inconcevable pouvait en démêler les part d'ombre et de flamme, qui la faisait disjoncter quand elle les percevaient confondue l'une dans l'autre comme s'il s’était agit du même événement pour elle, de la même lumière, (mais pouvait elle se résigner a maintenir la différence absolue, alors tout aurait été changé !!) et les événements qui forçaient son âme et sa pensée a voir l’idéal a travers la matière, la provenance ouverte abyssalement, ou rebondit l’écho fractal de la transcendance, courrait le long des rues, clapotait dans les ruisseaux des caniveaux, tombait en mousse de cristal trempé dans les égouts de verre du temps, enroulé comme un bleu de travail, enlisé au fond plombé des aléas non-élucidés de ses pensées imparfaites qui nous écrasent de mystère ou lieu de nous soulever; il faut bien que le verre délivre sa larve de lumière, et que le ciel soit autre chose qu'une représentation, une hyperbole pensée de l'A-perceptions de l’Être Auprès, et ses sensations certaine d'attraper autre chose quelle même dans leur éternelle répétition, a refaire du neuf avec la vieille climatisation, qui redonnait la sensation d’être sensé quoique déduqué, déduit des richesses de la substantielle moelle de la cité, et coincé avec l'inséparable sensation qui devenait a elle-même impalpable si elle n'avait pas l’éternelle histoire du paradoxe a raconter pour se désespérer de toutes les histoires qui ne tiennent pas éveillées, et dont le sens lui échappait, lui indifférait autant que les piquets qu'il plantait au milieu des nuages pour clôturer l'enceinte du puits qu'il creusait de ses larmes ruisselant de ses lac sur la mort de ses pensées de s’être cru aveugle, (quelles sont ces forces qui agissent comme une pression sur le regret?) monument du souvenir érodé par le temps et le vent, granit amnésique sculpter par le sable et la mer demandaient grâce au moment de joindre ensemble leur double concepts si radicalement opposés, sa sensibilité, sa chair se levait d'un frisson vent debout, et demandait a dieu s'il était trop petit pour lui rendre aussi justice ; elle en revenait contrit, insensible et abstraite d’elle-même, prête a boire la noirceur dernière, si bien qu'elle avait du mal a raconter leur jonction qui avait détendu la trame de son monde, au moment ou les palan avaient écarté les chair invisible de l’émotion propre a l’éternité déramée et évidée de la sensibilité par l’intérieur, leur proximité, loin de cristalliser un événement, les rendait tous impossible, et refoulait l’être en un chaos d’événements si inconcevable que l'entrevoir s’était secouer l’éveil de l’espérance, en déroulant le tapis des tribulations du continuum espace temps sur le chemins des poussières qu'un astre transparent éclaire comme des événements ralentissaient a vue sur l'avenue de la venue, de la présence abstraite en nous soutirant la différence absolue de l’idéalité, l'attente d'un être que le doute façonne a travers la matérialité du monde, rendrait cette Présence secrète et comme un jardin suspendu a l’intérieur d'une enceinte de pierre, a elle-même impalpable, inconstatable et futile, si différente de l'incontestable présence de cet autre jardin si différent, qu’était celui qu'on attendait et qui changer en apparence l'attente, jusqu'à ce que le train s’arrête en quelques trouées lunaire, qu'un voyageur descende et dévale comme un blindé chargé d'explosif un angle mort de la vue qu'absorbe avec les restes des couleurs de la nuit, laissant briller seule, la noirceur absolue qui se cache en nous quand devant la face de dieu nous ne sommes que l'ombre de nous-même.