L'office secret

 

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                                                                                    christine guinamand

 

Au tronc d'un voile poissonneux, les hurlements lacèrent les jambes brisées, le souffre et le fiel tombent de la ville sans portance errante comme une dune de cadavres flottant a la dérive sur l’Océan, l’imprégnation de leurs histoire confuses s'en va rejoindre d'autre mont, repeint couleur d'outre gouffre au goudron, autour des cornes recouverte de peau d'orange et de flambeaux éclairant l'autre importance de l'impression ruinée, deux états liés par la même lumière, l’être détruit, révélé a lui-même dans la passion, douze stations apnéiques sur les traverses des messages qui soufflaient les nuages comme des solives de chemin de fer s’enfonçant dans la travée de brique des cheminé a gaz ou chaque jour les hommes brûlent en vain l’Atmosphère ; le dédain désaccorde les roulements a billes des doigts tapant sur le clavier, les signes que de la réflexion qui se déplace et forme des siphons relativistes des papillons, les salto mortale de ses tourbillon mentaux de vaselines que sont les pensées, roulant comme cochon dans la boue sémantique ou l’être tourne, gravite et se transforme autour du sens mis a nu en sa racine dans la fabrique de la peur ou se redore au soleil, l'immaculé coté feuille de l'indescriptible face du rapport de la conscience au continuum espace-temps ; le train de cérémonie engouffre des plateaux de flûte de champagne au centre d'un O sombre comme un puits couleur whisky, et une fois engloutie, le cliquetis de l'emprunte rejaillit des double portes a battants des cuisines, chargé de cliquetis de fer qui cognent au carreau des maison basses de la mère matière pour trouver un abri en l'esprit ; un chien s'approche de ma table et me dit : refile ta myxomatose aux chien nés des catastrophes spirituelle ; remède d'esprit aussitôt je m'informe au téléphone de la vérité de ses dires ; on me renseigne sur la nature de ses ébats avec les états disparus du clavier numérique uni qui quêtent leur conscience dans les déhanchements permanent des recompositions de l'union comme en toute bonne démocratie; en sortant de ma disparition dans le temps, je passe a la poste jeter une lettre a une amie, qui du fond de sa mélancolie se fait des séries policière sur la nature spirituelle du baiser de l'esprit, on l'on voit l'acteur débuter sa scène, en déjouant d'abord son rôle star narcissique secouée par de cathare sensations de subversion violente de ses pensées, chargées d'impondérables forces en stagnation dans ses cheveux qu'il rejette en arrière d'un coup sec, au même instant, le regard de la loutre sortant du bain passe a travers ses yeux, il s’ébroue a son tour de puces digitales que personne ne remarque a part lui, il se prépare, et tout a coup, entre en scène... le mur enchantée des pensées s'effondre avec l'acte solipsiste de la scène au miroir brisé ou l'on s'enferme dans sa maladie.... et c'est le trou noir en perspective qui s'ouvre devant lui, , l'inconnu est la Scène un abîme qui se régale d'absorber les appuis inutile de l'objectivité du puits.

 

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