Arantzazu Martinez
Le David de Michel Ange ne fait que quatre mètres trente-quatre et concentre et réfléchit, infiniment mieux la totalité poétique d'une âme, que nos contemporaines trompettes de la mort siliconées pas même couchées sur les flancs de Versailles, mais jaillies d'autres vanités, tout aussi paillardes et pliables et gonflables a volonté, qui mesure a trente mètre de hauteur et de profondeur sans univers et sans âme la paille qu'un riche doit se foutre dans l’œil pour se croire spirituel et intelligent, paille qui se donne pour le feu sacré des ambitions façonnant d'un cœur la vacuité pure a l'image du créateur, image faussée, grandit des grandeurs toutes relatives mais absolutisées en questions financières qui seules, interrogent le vide sans réponse de la donation a laquelle ils ne croient plus; si l'art est la finance de refiler la grippe au prochain éternué, c'est parce qu'il mobilise les ressorts et les motivations les plus profondes de l'individu, et c'est parce qu'il met en chantier un projet d'exploitation mercantile que l'artiste contemporain est reconnu de ses pairs, et distingué et tout le tralala ; dessous, les tables, provient, une énorme confusion qui rapporte aussitôt le souci a lui-même pour se rendre compte, et l'efface de la pensée, le nœud tien bon ou a t-il cassé ? l'art séquestré par la finance, est une pièce maîtresse du jeu sur l’échiquier de l'Ontopeitique et du niveau des ballastes sur les focales pointant la constante du flux poétique de la réalité enfermée dans l'utilitarisme sans fin de répétition désespérantes et démoniaques; en subtilisant l'Art au peuple on le tue tout simplement, on lui ôte gentiment, a grand renforts de spectacle et de cocktail, l'alternative a la soumission volontaire au conditionnements de l'exploitation mondialisée, qui serait de le voir partout. A la télé le match entre financiers s’achève sur des prolongations, les tirs au but viendrons finaliser l'affrontement de deux millionnaires patentés qui ont chacun des parts dans les produits qu'ils vendent a chaque interruption publicitaire ou le marché prend conscience de lui-même et reflète sa came dans les pensées sombres des fans stadiumisés ou jamais le blé ne pousse assez. L'art invisible de dieu, les rend maigres et affamés comme des ailes customisée qui sifflent en tombant dans l’abîme qu'elles recouvrent d'ivraies rampant sur l'aire terrestres des pensées, incapable de se détacher d’elles-mêmes, du cercle des production de la condition de l'existence, du travail avec lequel elles gagnent la circularité organiquement organisée, et s'y enferment au lieu de subvertir et de transcender cette geôle circulaire en l'Onde Présupposée par la surface du ciel réfléchie au lac de vie, l'image charnelle dressé du verbe ressuscité du cruel déchirement de la peine qui s'apaise, et se referme définitivement, au moment ou les déchirement d'ombre et de lumière lustre une scène ou dieu dans la corbeilles est l'aliment qui profite a la chaire glorieuse, qui l'aime Le mange comme un poison délicieux en faveur du badinage, qui fait grâce à la raison. Mais le cirque ou exhibait, un ancien équilibriste du mime muet, les extravagantes pirouettes pathético-sémantique de l'Ontopoïétique, repartait déjà avec le Flux des réalités Conscientes de leur dérive a travers les plans de formation de la formation a l'information qui nous submergent de détails... il mettait terme, entré en scène comme un soldat de plomb et au tambour et a l'ancienne façon des péripatéticiennes les exhibitions et les pirouettes, étaient annoncées par le célèbre Armadjab Bic qui revenait a lui chaque fois qu'il quittait la ville cahin cohant, la conscience plongée en son miroir sursautait dans la roulotte jaune et verte, comme un lustre, un œil sans logique, virevoltant des persiennes de la penderie sous les fougères a l'eau claire des brefs instant, une pierre brise son angle de vue, aussi nettement qu'un feu éclate le ciment, milles vues tronquées hante sa surface imparfaite; le lit glisse sur le sommier lentement, produit un angle en pleine lumière et se retire, au détour de la scène dramatiquement bouleversée, attentive, rejouée en permanence au détour des ponts, rejoindre un carrefours jeté au fond d'une fleur, dont les épines comblent de douleur, les cheveux blancs des orties qui changent d'apparence le long des roues de l'instant immuable de poésie.